Au-delà de quelques rencontres désagréables avec les Dévoreurs, on passe son temps à parcourir le monde à la recherche d’âmes d’animaux qui sont autant de collectibles. Et c’est là que le bât blesse. Les décors sont certes magnifiques mais donnent une impression de vide. Certaines sections s’étirent en longueur et l’ensemble s’avère en fin de compte assez redondant. L’aspect contemplatif, suscite chez moi davantage le renoncement que l’enchantement.