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Neva
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'Aur'
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14/10/2024 |
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80
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'Aur'
Il y a des œuvres qui vous marquent. Après l’excellent Gris, Nomada parvient une seconde fois à réaliser un jeu condensé et qui, pourtant, laissera une trace sur le long terme à celles et ceux qui s’y aventureront. Difficile de ne pas le comparer avec le précédent titre du studio, tant ils se ressemblent par endroits. Mais, Neva a une personnalité bien propre. Il aborde d’autres thématiques, tout aussi universelles et avec une force évocatrice qui touche droit au cœur. On en voudrait encore plus, juste un petit peu, pour refermer cette histoire sans fin en ayant la sensation d’être allé au bout véritablement de ce que le jeu pouvait nous raconter. Cela ne gâche pas le plaisir à traverser les décors sublimes de ce monde onirique, en compagnie de cette petite louve dont on se prend vite d’affection. Définitivement, Neva trouvera sa place dans le cœur des joueuses et des joueurs.
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Lords of the Fallen
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Jeremy Hautelin 'KiKiToes'
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26/10/2023 |
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80
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Jeremy Hautelin 'KiKiToes'
Lords of the Fallen n’est pas exempt de défauts et il confond parfois difficulté, level design vicieux et frustration totale. Le jeu se présente comme un soulslike très solide qui, s’il emprunte beaucoup à ses modèles, a tout de même sa propre identité. Jouer sur deux univers parallèles est une excellente idée et techniquement, c’est même assez impressionnant, notamment grâce à l’Unreal Engine 5. La direction artistique n’est pas en reste et nous aligne des panoramas superbes, parfois horrifiques, mais toujours réussis. Dommage que ce second monde infernal soit également l’une des sources de frustration du jeu. Pic de difficulté mal dosé, level design parfois trop sévère et un problème dans la répartition des checkpoints font qu’il arrive souvent que le jeu nous tape sur les nerfs. Mais si vous cherchez un jeu difficile, beau à pleurer qui repose sur un gameplay vraiment fluide et agréable, Lords of the Fallen pourrait bien vous combler.
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Blasphemous 2
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Jeremy Hautelin 'KiKiToes'
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17/08/2023 |
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80
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Jeremy Hautelin 'KiKiToes'
Blasphemous 2 est une réussite. Si vous avez apprécié le premier voyage, vous allez ici adorer ce nouveau pèlerinage. Si vous êtes néophyte, pas de panique, vous n'avez pas spécialement besoin d'avoir fait le premier opus pour tenter l'aventure. Blasphemous 2 se suffit à lui-même. À la fois Metroidvania et Souls-like, le jeu pioche dans les deux mondes ce qui se fait de mieux et se construit des mécaniques perso dans la foulée. Le résultat est plus que convaincant. Le gameplay est accessible, mais exigeant, la difficulté bien présente, mais pas insurmontable pour autant et l'exploration est un plaisir, même si on peut facilement se perdre. Assurément, Blasphemous 2 est un jeu plutôt marquant, ne serait-ce que pour sa proposition et son univers qui traite de mythologie et de religion d'une manière que l'on voit peu finalement. La direction artistique et le bestiaire qui en résultent sont eux aussi dans le haut du panier, malgré quelques redites avec le premier épisode. Le tout baigne dans une OST savoureuse pour les oreilles et profite d'un pixel art de haute volée. Amoureux du genre, fan de la licence ou simples curieux, foncez !
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Scrap Riders
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09/01/2023 |
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50
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Scrap Riders tente un mélange surprenant de de point & click et beat’em all et ça marche. Les puzzles sont plutôt agréables et les phases d’action sont maîtrisées et très dynamiques. Le souci, c’est que le jeu est aussi extrêmement bavard, ne raconte pas grand chose et enchaîne les vannes lourdingues et/ou gênantes (on aime ou on n'aime pas), quand il ne nous colle pas des références sous le nez comme si on n’était pas capable de les remarquer. En prime, le pixel art nuit bien souvent à la lisibilité en exploration et en combat. Résultat, l’expérience n’est clairement pas aussi excitante qu’espérée et les bonnes idées sont étouffées par un manque de finesse générale .
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Metroid Dread
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Thomas Pillon
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06/10/2021 |
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90
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Thomas Pillon
La mission était sans doute la plus périlleuse de la série : comment Metroid Dread allait-il pouvoir lutter à armes égales face à une descendance spirituelle si nombreuse ? Pour offrir à Samus Aran un baroud d'honneur digne de ce nom, Mercury Steam ne s'est pas contenté de revenir aux racines d'un gameplay en 2D : près de 20 ans après Metroid Fusion, les développeurs espagnols ont voulu sublimer la formule, et y parviennent d'une bien belle manière. Loin des standards souvent bienveillants de Nintendo, Metroid Dread est une aventure exigeante, dense, difficile parfois, mais surtout merveilleusement bien orchestrée. Grâce à son level design propice à l'exploration, l'aventure récompense la curiosité autant qu'elle donne du fil à retordre, notamment contre les EMMI, une nouvelle menace qui installe une tension rare, même dans la série. La formule ne s'éloigne jamais vraiment des sentiers battus, mais propose de pousser les compteurs à fond pour profiter d'une intrigue aussi riche en rebondissements que rare. Alors que Samus nous donne inlassablement rendez-vous pour une nouvelle mission, un constat s'impose : en attendant la suite, Metroid Dread offre à la licence un superbe baroud d'honneur.
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Alex Kidd in Miracle World DX
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Gianni Molinaro
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22/06/2021 |
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50
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Gianni Molinaro
Un peu comme Wonder Boy Asha in Monster World paru récemment, et au contraire de Wonder Boy The Dragon's Trap, cet Alex Kidd in Miracle World DX a une base instable dès le départ. La refonte est magnifique, mais la fidélité au matériau d'origine côté feeling, imprécis, et level design, rouillé, la plombent. Les speedrunners y trouveront un défi, les joueurs plus occasionnels une aventure aux atours charmants mais pas forcément amusante en comparaison d'autres propositions dans le même genre, à faire pour sa culture.
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Alt254
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09/09/2020 |
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70
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À condition de savoir où l'on met les pieds, Alt254 est une aventure singulière, qui pourra offrir quelques heures de véritable réflexion aux joueurs qui préfèrent l'évocation au photo-réalisme. Ce jeu rétro jusqu'au-boutiste parvient malgré sa limitation graphique de 21x26 pixels à donner la sensation d'explorer un univers cohérent, doté de ses propres codes, qu'il faudra malheureusement apprendre à l'ancienne, c'est à dire... à la dure. Ceux qui parviendront à passer par-dessus un début difficile passeront alors quelques sympathiques heures à résoudre les nombreuses énigmes de cette synthèse minimaliste entre Adventure et The Legend of Zelda.
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Arise: A Simple Story
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06/12/2019 |
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80
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La représentation, les mécaniques, les différents propos... La forme et le fond d'Arise : A Simple Story sont effectivement... simples. Ce qui n'a pas empêché Piccolo Studio de proposer une expérience aussi ravissante artistiquement que forte émotionnellement. En dépit de problèmes de maniabilité qui freinent brutalement et trop souvent une progression plaisante et naturelle, le jeu parvient à transporter le joueur du début à la fin, créant grâce à son visuel, ses musiques et ses puzzles, un lien d'empathie solide avec ce vieil homme, dont l'existence n'aura, elle, pas été si simple. Une des très bonnes surprises de la fin 2019.
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Blacksad: Under the Skin
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11/11/2019 |
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50
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Pour sa première aventure en dehors du monde de la bande dessinée, l'inspecteur le plus classe de l'après-Guerre ne fait pas preuve d'autant de finesse que son espèce féline. Malgré une écriture de grande qualité qui fait largement honneur à l'oeuvre originale, à peu de choses près, l'enquête proposée par Blacksad : Under the Skin souffre de bien trop d'approximations techniques pour convaincre au-delà des purs inconditionnels. Malgré une réelle participation à l'enquête à travers d'astucieuses déductions et une ambiance au poil, le titre de Pendulo se ramasse sur trop d'éléments pour réussir à convaincre : entre des collisions aléatoires, des déplacements trop lents, une caméra pénible et surtout des bugs qui feraient presque rougir un Assassin's Creed à sa sortie, Blacksad : Under the Skin mérite de nous montrer patte blanche avec un gros, gros patch correctif (il arrive le 14 novembre paraît-il) avant de mériter le coup d'oeil. Les fans y trouveront tout de même une enquête ron(ron)dement menée, tandis que les autres espéreront que les développeurs remettront le félin d'aplomb dans une suite, qui ne demande qu'à s'améliorer techniquement pour nous emporter.
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Yuppie Psycho
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17/07/2019 |
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80
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Ne vous y trompez pas, derrière son esthétique simpliste, Yuppie Psycho est une aventure très plaisante dont les nombreuses énigmes vous donneront du fil à retordre. Parfaitement bien pensé et construit et doté d'une histoire dont les situations allient à merveille horreur et comédie, on ne peut que le recommander aux adeptes du genre qui passeront à coup sûr un bon moment devant la dizaine d'heures qu'offre son scénario.
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GRIS
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13/12/2018 |
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90
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Dire que Nomada Studio frappe fort avec son premier jeu relève du plus doux des euphémismes. D'une force évocatrice saisissante, GRIS ne mise pas tout sur les superbes visuels hallucinants de beauté de Conrad Roset, mais touche avec une remarquable justesse tous les sens en éveil, au travers d'une aventure métaphorique hors du temps. Dévoilant une à une ses cartes sans jamais tomber dans la redondance ou l'usure, ce mélange entre plate-forme, puzzle et contemplation parvient à donner le tournis en accordant avec brio des mécaniques connues au sein d'environnements écrasant de complexité, mais pourtant toujours parfaitement lisibles. Ascenseur émotionnel par excellence, GRIS profite de son propos métaphorique pour laisser toute sa place à la musique et à la contemplation, au travers d'un conte halluciné dans lequel chacun trouvera, quoi qu'il arrive, quelque chose de très personnel. En un mot comme en cent, nous sommes face à un véritable chef-d'oeuvre, tout simplement.
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Crossing Souls
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13/02/2018 |
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80
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On connaissait les "feel good movie", et Crossing Soul pourrait ainsi être qualifié de "feel good game". Vous vous sentirez bien en y jouant, comme dans un cocon confortable dans lequel on est parfaitement à notre aise, en terrain connu. Si la fin de l'aventure et la maniabilité laissent un peu à désirer, cela n'empêchera pas les joueurs trentenaires/quadragénaires, nourris aux jeux et aux films des années 80, de retrouver les sensations d'antan, celles qui nous ont fait devenir les joueurs (et peut-être même les personnes) que nous sommes aujourd'hui.
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Metroid: Samus Returns
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12/09/2017 |
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80
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Mercury Steam démontre un talent fou dans l'exercice du remake avec cette version méconnaissable de l'antique Metroid II : Samus Returns sorti il y a déjà un quart de siècle. La copie rendue n'a presque plus rien à voir avec l'original, et c'est tant mieux : la quantité d'armes, de gadgets et de situations librement rajoutée par le studio ibérique transcendent complètement l'expérience, et accoucheraient presque d'une toute nouvelle aventure. Presque. Car la structure et la narration héritées de la Game Boy finissent par rejaillir derrière cet admirable ravalement de façade. Dirigiste et corseté, cet épisode se révèle au premier abord bien plus sage et prévisible que les classiques 2D de la saga spatiale. Avec un objectif chiffré affiché d'emblée et un sublime feu d'artifice qui ne se déclenche que dans ses dernières heures, Metroid : Samus Returns s'avère un chouïa trop sage pour tutoyer les sommets d'excellence auxquels la belle Samus nous avait habitués.
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RiME
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25/05/2017 |
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90
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Avec RiME, Tequila Works nous offre une aventure dont on devrait se souvenir longtemps. Un jeu simple, sans chichis, séduisant, mystérieux, qui provoque un mini big-bang émotionnel lorsque l'on comprend son sens, dans une fin qui laisse sans voix. Un petit diamant que l'on pourra ranger respectueusement entre Journey et Brothers : A Tale of Two Sons. Rien que ça.
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Rise & Shine
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12/01/2017 |
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70
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Attachant et méchant, Rise & Shine n'a pas tout pour plaire à tout le monde. Son esthétique et sa bande-son aux petits oignons hameçonneront les plus sensibles. Son gameplay die and retry sans concessions, garni de bonnes idées pour vous mettre plus bas que terre, tout en satisfaisant les plus aguerris, fera peut-être s'empourprer celles et ceux habitués aux assistances de toute part et faciles à submerger. On regrettera que sa durée de vie nette - taxe des décès soustraite - ne soit pas plus importante, ainsi que quelques couacs dans le répondant des commandes. Mais dans l'ensemble, son studio peut être fier, car son jeu est bien plus qu'un honnête passe-temps de début d'année.
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Randal's Monday
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21/11/2014 |
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40
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Un point and click qui, à force de remplissage, parvient à se montrer creux. C'est le drame de Randal's Monday dont le postulat et la réalisation suscitent immédiatement l'intérêt... avant qu'on ne lutte face à des énigmes dont seuls les développeurs peuvent saisir la logique, s'il y en a une, en se grattant la tête devant des références un peu trop envahissantes, s'incrustant des tonnes de dialogues souvent soporifiques.
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InviZimals: La Resistencia
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17/11/2014 |
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55
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Hélas le gameplay très orienté vers l'action souffre encore d'imprécisions, une tendance brouillonne que les batailles en quatuor ne font qu'aggraver. Seuls les dresseurs acharnés y trouveront donc leur compte, surtout avec un cheptel étendu à plus de 150 Invizimals armés d'attaques customisables, dont certaines sont capables de renverser le cours des hostilités. Néanmoins, leur nature répétitive viendra vite à bout de la résistance des éleveurs en quête d'aventure.
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Los Muppets: Aventuras de Pelicula
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12/11/2014 |
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40
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Une faiblesse qui ne saurait se justifier par le public théoriquement jeune auquel se destine cette oeuvre, puisque le challenge peu élevé permet surtout de contrebalancer les approximations des contrôles. En somme, il existe de bien meilleures façons de découvrir les Muppets - et d'exploiter les possibilités la PS Vita - que ces piètres Aventures au Cinéma.
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MIND: Path to Thalamus
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11/08/2014 |
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80
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Carlos Coronado n'a pas livré un jeu parfait, c'est un fait. Mais l'expérience proposée par ce tire conçu en tout petit comité en moins de 4 ans se montre des plus séduisantes. Solide côté puzzle et surtout sublime sur le plan visuel, MIND : Path of Thalamus se parcourt avec des yeux ébahis, et ne se lâche pas facilement, que l'on soit ou non joueur confirmé, en dépit d'une narration ratée. Un rêve éveillé qui mérite indulgence et attention.
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Castlevania: Lords of Shadow - Mirror of Fate
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06/03/2013 |
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80
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Galvanisé par le succès critique et commercial de Lords of Shadow, Mercury Steam poursuit sa brillante réinterprétation de Castlevania à travers Mirror of Fate. A commencer par une narration plus appuyée, dont témoigne la division de l'aventure en plusieurs actes propres à chacun des héros. Cet opus hérite aussi du gameplay tourbillonnant de son aïeul sur console de salon, transposé en 2,5D. Et cette présentation de toute beauté permet également un retour de la plateforme et de l'exploration, preuve que le studio espagnol n'oublie pas les traditions de la saga. Tout juste peut-on regretter une approche trop consensuelle, obtenue à force de compromis pour que tout le monde soit aux anges, des néophytes aux chasseurs de vampires aguerris. Certains y verront d'ailleurs un manque de profondeur, voire d'âme, notamment les fans les plus intégristes qui ne démordent pas de la recette d'autrefois. Mais si le studio n'avait pas planté profondément ses canines dans la saga en se la réappropriant de la sorte, il y aurait de quoi se faire du mauvais sang pour son avenir, qu'incarne désormais Lords of Shadow avec une prestance admirable. Et sans doute serait-elle morte à petit feu, un comble pour une histoire de vampire.
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UnEpic
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29/12/2012 |
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60
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UnEpic mélange RPG et plates-formes pour fournir une expérience très riche en gameplay et en blagues de geek. Même l'histoire est entrainante et poussera le joueur à découvrir ce qui attend l'amusant couple rôliste/esprit tout en haut de ce château maudit. Du bon travail qui mérite l'attention des amateurs de jeux indé.
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Deadlight
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14/08/2012 |
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60
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Deadlight avait tout pour devenir un bon candidat au Summer of Arcade annuel de la Xbox avec ses zombies en premier plan et sa lisibilité volontairement amoindrie. Stylisé sans trop en faire, il s´évertue à utiliser des mécanismes dignes de Prince of Persia qui semblaient être perdus dans nos mémoires. Comme si le bon vieux temps était venu percuter de plein fouet un monde au bord du gouffre.
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New York Crimes
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06/04/2012 |
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90
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Un jeu d'aventure de grande qualité, comme sait les faire Pendulo Studios depuis maintenant pas mal d'années. Sombre, avec un scénario de qualité, Yesterday est le jeu idéal pour tout fan de point and click qui se respecte. On regrettera juste une bande son française absente et une durée de vie trop courte. On ne peut pas tout avoir dans la vie, paraît-il...
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Resurrection
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20/06/2011 |
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40
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Je vais vous le dire d'emblée, je suis déception. C'est avec le DLC Resurrection que Konami devait refermer définitivement le grimoire de Lords of Shadow. Et si l'aventure initiale m'avait tant séduite, les deux DLC garderont un arrière goût des plus amers. Nous avions laissé Gabriel et Laura dans Reverie, un chapitre déjà bien court. On se retrouve ici face à des séquences de grimpette assez répétitives, de la simili-infiltration et un gros combat contre un boss, l'Oublié (affrontement sacrément long et corsé cependant). Un volcan. Un chevalier en armure bien énervé. Une bonne heure de jeu. Point. Hormis deux cut scenes vigoureuses, un moment de bravoure... rien de bien excitant, même pour les fans. L'ensemble se montre beaucoup trop sec pour justifier le prix de ce DLC. Soyons clair, il aurait fallu à Konami regrouper ces deux épisodes en un seul pack pour que son coût se montre plus acceptable. Mais le plus dommage finalement reste la relative banalité de la conclusion. Rien de magistral ou surprenant. Nous nous attendions à une apothéose. Nous aurons eu droit à un DLC dans toute sa mercantile dimension. Déception.
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Reverie
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19/04/2011 |
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60
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Le voilà enfin, le premier DLC pour Castlevania : Lords of Shadow ! Est-il à la hauteur de nos attentes ? Oui et non... Oui, car il prolonge d'un nouveau chapitre un jeu d'action/aventure qui nous avait beaucoup plu, parce qu'il le fait avec de nouvelles cinématiques façon "digital comics" très classieuses, en nous offrant des moments sympas dans la peau de Laura, avec ses capacités spéciales de vampire et sa maîtrise de la foudre, avec de nouveaux puzzles, de nouvelles phases d'action, de nouveaux décors... Il nous lâche même un petit détail scénaristique intéressant, qui éclaire la fin si énigmatique de Lords of Shadow. Malheureusement, ces 3 petits niveaux (seulement!) ne sont pas non plus hyper surprenants, et surtout ils se bouclent très, très rapidement (une petite heure). On reste donc clairement sur sa faim, avec un "à suivre" très frustrant qui plus est ! Bref, pour 8 (ou 800 MP), on s'attendait quand même à en profiter plus longtemps et plus intensément.
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Hollywood Monsters 2
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08/04/2011 |
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80
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Malgré quelques lacunes, le titre de Pendulo Studios parvient à nous tenir en haleine du début à la fin. Personnages loufoques et attachants, énigmes parfois retorses mais un titre finalement accessible à tous, des dialogues de qualité... Bref, The Next BIG Thing a tout pour plaire. On regrettera cependant une trop grande facilité et un jeu assez court. Un titre pourtant monstrueusement bon, digne des plus grandes références du genre ! Une suite est évidemment chaudement attendue.
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