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Song of Nunu: A League of Legends Story
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'Kelma'
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30/10/2023 |
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'Kelma'
Malgré ses faiblesses évidentes dans plusieurs départements, character design et direction artistique en tête, il y a un côté chaleureux indéniable dans Song of Nunu avec cette relation d’une touchante simplicité entre le petit garçon et son Yéti gardien. Une candeur spontanée qui va presque devenir plus intéressante que l’intrigue principale en elle-même et l’utiliser comme marche-pied. On garde cependant le sentiment que l’expérience sera davantage appréciée par les amateurs de League of Legends
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Lords of the Fallen
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Benoit Baylé 'DocSavage'
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17/10/2023 |
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Benoit Baylé 'DocSavage'
Fondamentalement, caractériser Lords of the Fallen de mauvais serait outrancier. Rien n’y est outrageusement râté ou incompétent ; il manque cependant de plusieurs facteurs inhérents à la réussite d’un titre du genre pour véritablement faire oublier la déconvenue de son prédécesseur, avec qui il partage de nombreux défauts. Qu’il s’agisse de son manque d’originalité, de sa carence en finition, de sa difficulté artificiellement gonflée, l’ensemble s’avère finalement plus frustrant que libératoire,...
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Metroid Dread
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Nicolas Verlet 'Puyo'
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06/10/2021 |
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70 |
Nicolas Verlet 'Puyo'
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Etherborn
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22/07/2019 |
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70 |
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Crossing Souls
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13/02/2018 |
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60 |
On ne mentira pas, Crossing Souls dispose toujours d’un capital sympathie irréductible grâce à son design très réussi et à son rythme équilibré. Mais une fois la lune de miel des premières heures passée, le masque tombe. Malgré toute sa bonne volonté, le dernier-né de chez Fourattic est rarement plus qu’un gros gloubi-boulga d’influences diverses. Ses intentions sont sans doute louables mais à force de vouloir honorer ses classiques, il oublie un peu trop souvent d’apporter sa propre pierre à l’édifice auquel il rend hommage. Il en reste donc une aventure agréable mais dont les qualités à la fois ludiques, comme narratives, sont insuffisantes pour garder un souvenir impérissable.
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RiME
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25/05/2017 |
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60 |
RiME est en quelque sorte ce qu'Abzû est à Journey, ou ce que Majin and the Forsaken Kingdom est aux jeux d'Ueda. Un titre honnête qui avance quelques idées propres, surfe beaucoup sur celles de ses prédécesseurs et en livre une vision un peu édulcorée mais pas inutile, surtout si vous n'avez pas goûté aux influences - conscientes ou pas - de Tequila Works. S'il ne repartira pas avec la palme de la subtilité, de l'originalité ou de la claque technique, c'est un jeu mélancolique parfois très beau et relativement équilibré qui se laisse traverser sans déplaisir majeur en l'espace d'une poignée d'heures. On a vu de meilleurs puzzle platformers chargés en émotions ces dernières années, mais c'est loin d'être le pire sur ce créneau.
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Rise & Shine
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17/01/2017 |
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40 |
Rise & Shine est un jeu visuellement splendide, prometteur sur le papier, mais qui fait tout son possible pour susciter l'inimitié. Ses phases de shoot se résument bien souvent à rester collé au bord de l'écran en arrosant au petit bonheur, ses puzzles manquent autant de variété que d'inspiration, et sa compréhension de l'art délicat du die & retry se limite à buter gratuitement le joueur pour ralentir sa progression. De manière totalement objective, on pourrait également lui reprocher ses deux heures de durée de vie, mais la répétition étant déjà de mise au bout d'une, ce serait finalement se tirer "une flèche dans le genou ;-)". Vous avez compris cette "référence geek" ? Notez-la bien dans un coin de votre tête, car c'est probablement l'une des seules qu'aient su éviter les auteurs du jeu, pour qui un catalogue de clins d'oeil lourd comme un bottin peut manifestement remplacer un scénario. On en a vu passer, des jeux "meta" et des apprentis Wreck-It Ralph interactifs, mais un forceur de cette trempe commercialisé sans claquer des genoux, c'est franchement une première.
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Yesterday Origins
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25/11/2016 |
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50 |
Vêtu d'atours qui trahissent soit un budget famélique, soit d'importants changements chez Pendulo, soit les deux, Yesterday Origins n'honore pas ses ancêtres sur le terrain du panache : la présentation quatre étoiles d'antan n'est plus, remplacée par des choix artistiques bancals, des doublages et une finition de seconde zone. Sous le capot, un squelette d'énigme solide mais régulièrement émaillé des ratés habituels du studio, qu'on appréciera tout de même parcourir, poussé vers l'avant par le soin encore apporté à l'histoire, à certains instants de mises en scènes et à quelques personnages. Parfois, tout cela s'imbrique naturellement et on croirait presque retrouver l'équipe madrilène à son meilleur. Malheureusement, c'est souvent à ce moment précis que le script choisit pour se vautrer une fois de plus, au détour d'une vanne qui fait *pschit* ou d'une tentative gauche de plus. A se payer entre deux noms plus solides, en espérant que les ventes du jeu permettent tout de même au pendule un balancement supplémentaire, qu'on espère plus ample et plus gracieux.
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Aragami
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06/10/2016 |
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70 |
L’infiltration pure n’est donc pas morte, et Aragami nous donne autant envie de voir revenir un Tenchu que de mettre les mains sur Dishonored 2. Le studio catalan signe là une belle lettre d’amour au genre malgré une certaine retenue dans la diversité des ennemis ou des lieux. En choisissant de construire leur titre autour de la téléportation, le studio rend l'expérience grisante dès les premières minutes de jeu et on s'amuse franchement à trouver de nouvelles manières de répandre la mort autour de soi. On regrettera une fois de plus que le jeu propose de lui-même les cheat codes qui facilitent trop l'aventure. Pour le reste, Aragami est une belle surprise qui démontre le talent d'un jeune studio et sa compréhension d'un genre qu'on aimerait voir plus souvent à l'avenir.
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Dead Synchronicity: Tomorrow comes Today
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16/05/2015 |
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60 |
Si l’on arrive à faire abstraction de sa musique, Dead Synchronicity propose un univers plutôt cohérent et surtout différent de ce qu’on voit d’habitude. Plus proche d’un Sanitarium que d’un Day of the Tentacle, on a ici affaire à un scénario plus mature que dans la plupart des jeux du genre et inspiré par l’âge d’or de la science-fiction. Il y développe des théories temporelles largement inspirées par la physique quantique et qui peuvent facilement laisser le joueur sur le bord de la route mais en dehors de cela, l’histoire est assez riche et intéressante et vaut surtout pour sa galerie de personnages. Son classicisme apparent est plutôt bien venu, là où d’autres essayent souvent de réinventer la roue pour, au final, dégrader l’expérience de jeu. Le fait de retourner à du point’n click en "monde ouvert" est lui aussi très appréciable, et efface le sentiment d’assistanat que l’on peut parfois ressentir dans les jeux du genre à la structure plus moderne. Au final, on passe un vrai bon moment avec Dead Synchronicity et on ne peut qu’espérer que le jeu ait assez de succès pour voir arriver la suite... et effacer ainsi la frustration des dernières minutes de jeu.
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Gods Will Be Watching
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24/07/2014 |
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80 |
Gods Will Be Watching était originellement une expérience mais sa croissance l'a transformé en une réelle aventure, très curieuse et inhabituelle, mais indéniablement réussie. Le jeu de Deconstructeam ne dispose que d'une jouabilité point & click extrêmement primitive mais parvient à nous faire suer à grosse gouttes avec ces outils si basiques grâce à une grande intelligence de design combinée à des enjeux moraux et scénaristiques impossibles à ignorer. Les six missions du jeu demanderont une multitude d'essais afin d'être terrassées, le jeu revendiquant fièrement sa difficulté particulièrement relevée, et l'on en sortira indéniablement rompu mais extatique. Le côté frustrant de la répétitivité intrinsèque au concept du jeu en éloignera certains mais, pour ceux qui auront le courage de s'accrocher jusqu'au bout, il n'y a vraiment pas énormément de raisons de se priver, surtout à ce prix.
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Castlevania: Lords of Shadow 2
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25/02/2014 |
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70 |
Après un premier opus dont on n'attendait rien, il s'agissait pour Mercury Steam Entertainment de ne pas décevoir, à défaut de faire mieux. Un défi globalement réussi au vu de ce Lords of Shadows 2 même si quelques nouveautés et changements d'orientation auraient mieux fait de rester au vestiaire. L'idée des phases d'infiltration, par exemple, partait d'une bonne intention, mais ces dernières se révèlent poussives et sans grand intérêt, surtout quand la partie technique fait l'étalage d'un aliasing féroce. De la même manière, on ne pourra que pester devant un titre plus simple dans son ensemble, et qui manque toujours d'un peu de personnalité.
Pour autant, Lords of Shadows 2 reste un titre solide proposant une aventure longue et riche, portée par une direction artistique ainsi qu'une bande-son réussies, et parvient, malgré ces quelques errements, à marcher dignement dans les traces de ce dernier. Suffisamment en tout cas pour donner envie de se replonger, quatre ans après, dans les turpitudes de la famille Belmont.
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Castlevania: Lords of Shadow - Mirror of Fate
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04/11/2013 |
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50 |
Mirror of Fate n'est ni un excellent Castlevania, ni un fabuleux "Metroidvania", mais il reste un jeu d'action/plate-forme honnête qui essaye de maintenir la circulation du sang neuf injecté dans la série par Lords of Shadow. Miné par une histoire un peu bouche-trou, de légers soucis techniques et quelques autres maux du jeu vidéo moderne abaissant le défi global, cet opus assure sur le plan visuel, offre un système de combat très agréable et installe un peu plus sa propre mythologie vampirique et ses relectures de personnages intéressantes. Sympathique distraction pour les joueurs ne possédant pas de 3DS, il fera office de digestif appréciable pour ceux qui attendent de mordre dans Lords of Shadow 2 à pleines dents.
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Castlevania: Lords of Shadow - Mirror of Fate
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06/03/2013 |
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60 |
Mirror of Fate n'est ni un excellent Castlevania, ni un fabuleux "Metroidvania", mais il reste un jeu d'action/plate-forme honnête qui essaye de maintenir la circulation du sang neuf injecté dans la série par Lords of Shadow. Miné par une histoire un peu bouche-trou, de légers soucis techniques et quelques autres maux du jeu vidéo moderne abaissant le défi global, cet opus nomade assure sur le plan visuel, offre un système de combat très agréable et installe un peu plus sa propre mythologie vampirique et ses relectures de personnages intéressantes. Sympathique distraction pour les joueurs ne possédant qu'une 3DS, il fera office de digestif appréciable pour ceux qui attendent de mordre dans Lords of Shadow 2 à pleines dents.
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Deadlight
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31/07/2012 |
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60 |
A l'image des zombis, ni vivants ni morts, Deadlight tombe dans la fosse des productions ni mauvaises ni bonnes, prometteuses mais pas si marquantes à l'usage. On ne lui enlèvera pas sa réalisation, ou son gameplay correct et plutôt varié, mais le titre ne réussit pas à convaincre sur son background post-apocalyptique convenu et mal amené, pas plus qu'il ne dégage un tant soit peu de surprises. Cela ne vous empêchera pas de vous amuser, c'est vrai, mais si vous avez déjà essoré les jeux du genre, vous ne devriez pas avoir de difficultés à torcher celui-ci. Dans ce cas, comptez moins d'une soirée pour (en) finir (avec) Deadlight - et vu son originalité, vous n'êtes pas prêts de le refaire.
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NyxQuest: Kindred Spirits
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29/08/2011 |
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50 |
Cette capacité est bien sûr largement mise à contribution par un level design fin et exigeant, multipliant les pièges, mais également les puzzles. Pour les résoudre, vous pourrez alors compter sur l'autre pouvoir de Nyx : le contrôle de certains objets à distance. D'un doigt, vous pourrez soulever et guider blocs, colonnes et autre boules de feu pour déjouer les pièges tendus. Malgré quelques petits soucis de maniabilité quand il s'agit d'utiliser cette dernière capacité, NyxQuest développe une aventure prenante et bien goupillée, hélas, entre autres, un peu courte (environ trois heures) et facile.
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Hollywood Monsters 2
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08/04/2011 |
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70 |
Si la saga Runaway avait son petit grain de folie, The Next BIG Thing passe carrément au niveau supérieur en projetant le joueur dans un univers doux dingue peuplé de personnages siphonnés aussi comiques qu'attachants. C'est donc avec beaucoup de plaisir que l'on découvre le nouveau duo détonnant des studios Pendulo : Liz, surnommée à juste titre Lizinzin, et Dan le macho un peu beauf. Leur aventure au pays des monstres du cinéma (au sens propre) a beau être plutôt courte et facile, elle est drôlement bien ficelée et prenante. Au-delà du gameplay classique mais efficace, c'est bien sûr toute l'atmosphère et les personnages décalés que l'on savourera véritablement. Aux graphismes colorés et cartoonesques s'ajoutent des doublages réussis en diable qui soulignent parfaitement les dialogues très bien écrits, remplis d'humour et de références. The Next BIG Thing ne révolutionne pas le genre, mais sa fantaisie ravira aussi bien les débutants que les joueurs confirmés du point & click.
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Runaway: A Road Adventure
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20/03/2003 |
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70 |
Au final, ce Runaway relève avec panache le défi de l'aventure à l'ancienne et se montre assez réussi dans son genre pourtant réputé comme désuet. Les défis proposés tout au long des nombreuses heures de jeu sont de nature à passionner les nouveaux amateurs comme les vieux baroudeurs et on prend un certain plaisir à découvrir la palette de personnages souvent très drôles que nous ont concocté les développeurs de Pendulo Studios. Le charisme très limité des deux héros et la trame du scénario, peu inspirée, calmeront peut-être un peu les ardeurs des joueurs et le manque d'indices sur la marche à suivre à de nombreux endroits en frustrera beaucoup. Un bon jeu tout de même qui vient agréablement combler une place laissée vide depuis trop longtemps.
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Droopy's Tennis Open
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18/07/2002 |
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70 |
Les jeux de tennis commencent à arriver en masse sur GBA mais cela ne devrait pas empêcher Droopy Tennis Open de tirer habilement son épingle du jeu. Malgré ses quelques petits défauts, ce titre s'avère être une bonne surprise avec sa réalisation soignée et une jouabilité efficace. Les amoureux de la petite balle jaune peuvent donc se le procurer sans hésitation avec en prime le plaisir de retrouver l'ami Droopy ainsi que tout sa petite bande.
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Blade: The Edge of Darkness
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23/02/2001 |
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70 |
Comme la majorité des jeux en vue objective, Severance n'est intéressant qu'en solo. Mais avec ses niveaux longs et bien conçus, ses idées piquées à droite à gauche et sa réalisation exceptionnelle, Severance arrive à impressionner. Ses seules faiblesses : une maniabilité qui a oublié ce que déplacement latéral veut dire et un petit goût de réchauffé après les Tomb Raider et autres Rune. Un jeu indispensable pour les fans du genre et qui vaut simplement le détour pour tous les autres.
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